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  • Mieux se préparer pour faire face aux risques d'inondation en RDC

    Les inondations font parties des risques les plus récurrents en RDC. L’inondation peut être un phénomène régulier ou catastrophique et peut se produire lentement ou très rapidement. Elle correspond à une submersion temporaire, par l’eau, de terres qui ne sont pas submergées en temps normal. Cette notion recouvre les inondations dues aux crues des rivières, des torrents de montagne et des cours d’eau intermittents ainsi que les inondations dues à la mer dans les zones côtières mais aussi à l’accumulation des eaux de pluie qui restent à la surface. De ce fait, il est essentiel de comprendre comment se préparer pour faire face à ce risque quelle que soit la province dans laquelle vous vivez mais spécialement si vous vivez dans les bas-fonds, dans les vallées, a proximité des cours d’eau, en aval des barrages ou dans les zones côtières.

     

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  • Le risque volcanique en RDC. Comment se préparer pour y faire face ?

    Le volcanisme est l’ensemble des manifestations de l’activité des volcans : émissions des laves (roches en fusion et fluides), de gaz, projection des blocs et des cendres. Les éruptions volcaniques peuvent être accompagnées par d’autres risques naturels tels que les tremblements de terre, les coulées de boue, la chute des blocs, les glissements de terrain, les pluies acides, les incendies, etc.

    La  plupart des volcans des pays africains résultent de points chauds, du rifting, ou une combinaison des deux. En République démocratique du Congo, deux volcans actifs, Nyamuragira et Nyiragongo, sont responsables de près des deux cinquièmes des éruptions historiques de l'Afrique. Ces deux volcans font parties du massif volcanique de Virunga qui comprend 8 volcans.

    Le Nyiragongo contenait un lac de lave actif dans son cratère sommital profonde qui a drainé en 1977. Contrairement à la faible visibilité  du volcan bouclier voisin, Nyamuragira, Nyiragongo affiche  les pentes abruptes d'un stratovolcan. Deux stratovolcans âgés, Baruta et Shaheru, sont partiellement recouvertes par Nyiragongo au nord et au sud. Environ 100 cônes parasites sont situés principalement le long de fissures radiales au sud de Shaheru, à l'Est du sommet, et le long d'une zone au NE-SW qui s'étend aussi loin que le lac Kivu. De nombreux cônes sont enterrés par des volumineuses coulées de  lave de flanc,  la plus récente qui s'étend à partir d'une fissure flanc Est-Sud à moins de 4 kilomètres de Goma.

    Un  lac de lave précédent dans  le cratère sommital du Nyiragongo profonde, d'abord rapporté par GA Von Gotzen le 11 Juin 1894, tout d'un coup drainé à travers les fissures radiales sur 10 Janvier 1977, tuant environ 70 personnes. L'activité du Lac de lave a repris en Juin 1982, mais avait cessé en 1983. Le lac de lave a été de nouveau activé après une éruption qui a commencé en Juin 1994. La dernière éruption spectaculaire du volcan Nyiragongo date de janvier 2002.

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  • Problématique de gestion des déchets dans la ville de Bukavu (RD Congo)

    Dans le cadre de la sensibilisation sur les changements climatiques et la conservation de la nature, sous le haut patronage de l’Assemblée Provinciale du Sud-Kivu, le BEGE-RDC (organisation membre de UN Sustainable Development Solution Network Youth Initiative, SDSN-Youth), Congolese Youth Biodiversity Network (CYBN), Human Nature Projects (HNP) et organisations partenaires, ont tenu à Bukavu en date du 26 Octobre 2019, dans la salle polyvalente de l’Institut National de Préparation Professionnel « INPP » une conférencesous le thème « Changements climatiques : quelles perspectives de la jeunesse en RD Congo? ». Voici le résumé de la présentation sur la « Problématique de gestion des déchets dans la ville de Bukavu (RD Congo) » qui a été faite au cours de cette conférence.

    Orateur: Espoir BITEZA, Coordonnateur de la Brigade Hygiène et Assainissement à la Mairie de Bukavu. 

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  • L’éducation au développement durable pour préparer les jeunes à faire face au changement climatique en RD Congo

    Dans le cadre de la sensibilisation sur les changements climatiques et la conservation de la nature, sous le haut patronage de l’Assemblée Provinciale du Sud-Kivu, le BEGE-RDC (organisation membre de UN Sustainable Development Solution Network Youth Initiative, SDSN-Youth), Congolese Youth Biodiversity Network (CYBN), Human Nature Projects (HNP) et organisations partenaires, ont tenu à Bukavu en date du 26 Octobre 2019, dans la salle polyvalente de l’Institut National de Préparation Professionnel « INPP » une conférencesous le thème « Changements climatiques : quelles perspectives de la jeunesse en RD Congo? ». Voici le résumé de la présentation sur « L’éducation au développement durable à travers le Global School Program pour préparer les jeunes à faire face au changement climatique en RD Congo » qui a été faite au cours de cette conférence.

    Orateur: Jean Nacishali, Global School advocate, Global School Program (SDSN Youth), E-mail: j.nac@globalschools.info

     

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  • Le changement climatique: cause, conséquences et mesures préventives

    Les  changements  climatiques  constituent un défi majeur auquel le monde fait face actuellement. Au fil de temps géologique, l’atmosphère, la biosphère et les océans ont suivi des cycles naturels mais les travaux de recherche scientifique font état, aujourd’hui, des changements différents de ceux d’hier que subit notre planète aussi bien par l’ampleur que par la rapidité avec laquelle ils surviennent. Depuis le début de la révolution industrielle, les températures moyennes sur terre ont augmenté plus ou moins régulièrement. Chacune des trois dernières décennies a été plus chaude que toutes les décennies précédentes depuis le début des relevés statistiques, en 1850. La température moyenne de la planète a subi une augmentation de 0,85ºC par rapport à la fin du XIXe siècle. De ce fait, le réchauffement climatique est un phénomène global de transformation du climat qui est exacerbé par les activités anthropiques qui occasionnent la transformation de la composition atmosphérique terrestre en augmentant de manière déterminante les concentrations de gaz à effet de serre. Il s’agit donc d’une forme de réchauffement climatique dont les causes ne sont pas seulement naturelles mais économiques et industrielles. C’est ainsi que dans le cadre du Climate change media literacy campaign organisé par le BEGE-RDC, nous présentons les causes, les conséquences et les mesures préventives du changement climatique.

    Cause du réchauffement climatique

    Les changements climatiques étaient dus essentiellement à des causes naturelles comme des fluctuations de l’activité solaire et des éruptions volcaniques. Mais les scientifiques ne peuvent pas expliquer le réchauffement que nous constatons depuis une centaine d’années sans prendre en compte les émissions de gaz à effet de serre dues à l’activité humaine. Les émissions de gaz à effet de serre continuent à augmenter et ont plus que doublé depuis 1990. Ces gaz sont présents dans l’atmosphère terrestre et retiennent la chaleur censée être libérée dans l’espace. Ils agissent à la manière des parois d’une serre, permettant ainsi à l'énergie solaire d'entrer dans l'atmosphère mais l'empêchent de s'en échapper. C’est le cas du dioxyde de carbone (CO2); le méthane; le protoxyde d'azote; les gaz fluorés. Parmi ces gaz, le CO2 joue un rôle prépondérant. Le CO2 est le gaz à effet de serre le plus produit par les activités humaines; il est responsable de 63 % du réchauffement de la planète causé par l'homme. Sa concentration dans l’atmosphère est actuellement supérieure de 40 % à celle du début de l’industrialisation. En outre, Les émissions mondiales de dioxyde de carbone (CO2) ont augmenté de près de 50% depuis 1990. C’est ainsi que durant les dernières décennies, les émissions anthropiques de CO2 ont augmenté, mais se sont également accélérées (IPCC, 2006), forçant ainsi le système naturel à répondre beaucoup plus vite qu’auparavant. Ces émissions ont augmenté plus rapidement entre 2000 et 2010 que durant chacune les trois décennies précédentes. D'autres gaz à effet de serre sont émis en moindres quantités, mais ils retiennent la chaleur bien plus efficacement que le CO2, et sont jusqu'à 1 000 fois plus puissants. C’est le cas du méthane qui est responsable de 19 % du réchauffement de la planète causé par l'homme, tandis que cette proportion s'élève à 6 % pour le protoxyde d'azote. Notons toutefois que les gaz fluorés ont un effet de réchauffement considérable, jusqu'à 23 000 fois supérieur à celui du CO2 même s’ils sont libérés en plus petites quantités.

    Dans nos modes de vie, plusieurs activités constituent des sources d’émissions de gaz à effet de serre (GES). C’est le cas du secteur de transport, de l’industrie, de l’agriculture et de la production de l’énergie pour ne citer que cela. A titre illustratif, les émissions de dioxyde de carbone sont principalement dues à la combustion de matières fossiles, comme le charbon, le pétrole et le gaz. Leur combustion dégage d’énorme quantité de dioxyde de carbone et du protoxyde d'azote dans l’atmosphère. D’autres activités telles que la déforestation et l’agriculture sur brulis contribuent à l’émission des quantités importantes des émissions du dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Il en est de même de l’utilisation abondante d’intrants chimiques comme les engrais contenant de l'azote qui produisent des émissions de protoxyde d'azote ainsi que le modèle intensif de production qui dégradent les sols, véritables puits de carbone. Par ailleurs, l’élevage de ruminants est émetteur de méthane en ce sens que les bovins et ovins produisent de grandes quantités de méthane lorsqu’ils digèrent leur nourriture. Il est alors important de changer nos modes de vie en vue de diminuer notre empreinte carbone en recourant à des énergies renouvelables, pratiquer l’agriculture durable, éviter les moyens de transport polluant, etc. 

    Conséquences du réchauffement climatique

    D’aucuns pense que le réchauffement climatique est un problème relativement lointain qui implique simplement qu’il va faire plus chaud. Mais en fait, les conséquences sont beaucoup plus profondes. Compte tenu des concentrations actuelles et des émissions de gaz à effet de serre en cours, il est probable que d'ici la fin du siècle, l'augmentation de la température mondiale dépassera 1,5 ° C par rapport à 1850-1900 pour tous les scénarios sauf un. Les océans du monde vont se réchauffer et la glace va continuer à fondre. On prévoit une élévation moyenne du niveau de la mer de 24 à 30 cm d'ici 2065 et de 40 à 63 cm d'ici 2100. La plupart des aspects du changement climatique persisteront pendant de nombreux siècles, même si les émissions sont stoppées. Avec le changement climatique, les océans se sont réchauffés, les quantités de neige et de glace ont diminué et le niveau de la mer a augmenté. De 1901 à 2010, le niveau mondial moyen de la mer a augmenté de 19 cm en raison de l'expansion des océans due au réchauffement et à la fonte des glaces. L’étendue des glaces de mer dans l’Arctique a diminué chaque décennie depuis 1979, avec une perte de glace de 1,07 million de km² chaque décennie.

    Le réchauffement global provoque des modifications durables de notre système climatique, qui font peser une menace aux conséquences irréversibles si nous n’agissons pas tout de suite. Le changement climatique entraîne une hausse de la température globale, modifie les niveaux de précipitations, fait monter le niveau de la mer et cause des phénomènes climatiques plus fréquents et plus intenses. L’augmentation des températures à cause du réchauffement climatique affecte ainsi l’ensemble de l’écosystème mondial et pas seulement la chaleur ressentie. Il s’en suit une perturbation des modèles météorologiques habituels avec une augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes comme les tempêtes, les inondations, les cyclones et les sécheresses. Cette augmentation de la température affecte également la capacité de régulation des océans. L’augmentation croissante des températures globales contribue à  l’augmentation des niveaux des océans, à l’acidification et une désoxygénation des zones océaniques. En outre, une acidification trop prononcée pourrait limiter la capacité des mers de la planète à produire de l’oxygène et à stocker le CO2, et donc augmenter encore le réchauffement climatique. Cette augmentation de la température peut aussi affecter des zones de forêts et les écosystèmes fragiles (barrière de corail par exemple) ainsi que la biodiversité (les coraux, certains insectes et même des mammifères pourraient ne pas survivre).

    A part les écosystèmes, le réchauffement climatique a aussi des conséquences sur l’économie et les sociétés. Il peut avoir des répercussions désastreuses sur l’accès à la nourriture et à l’eau, la santé et les habitations. En effet, de 1880 à 2012, la température mondiale moyenne a augmenté de 0,85 ° C. Pour mettre cela en perspective, à chaque augmentation de 1 degré de température, les rendements en grains diminuent d'environ 5%. Le maïs, le blé et d’autres cultures importantes ont connu une baisse de rendement significative au niveau mondial de 40 mégatonnes par an entre 1981 et 2002 en raison du climat plus chaud. Par ailleurs, les variations des précipitations liées au changement climatique peuvent entraîner une augmentation du nombre de moustiques porteurs de maladies, occasionnant ainsi une recrudescence des cas de paludisme qui est la maladie la plus meurtrière en Afrique. De plus, un environnement plus chaud associé à une augmentation des précipitations peut également faire augmenter l’incidence d’autres maladies mortelles, comme la fièvre jaune et la dengue. La mauvaise qualité de l’air qui accompagne souvent une vague de chaleur peut causer des problèmes respiratoires ou les aggraver. Il se pose aussi le problème de  la capacité des sociétés à s’adapter à un nouveau climat, à adapter leurs infrastructures, notamment médicales, mais aussi leurs bâtiments. Les entreprises sont aussi affectées du fait qu’il est plus difficile d’adapter ses activités dans un contexte où le climat change.

    Mesures préventives du changement climatique

    Il est encore possible grâce à un large éventail de mesures techniques et changement de comportement, de limiter l’augmentation de la température moyenne globale à deux degré Celsius au-dessus des niveaux préindustriels. Pour cela des mesures adéquates doivent être prise au niveau individuel et au niveau des organisations afin d’agir pour le climat.

    Les plus grands climatologues mondiaux pensent que les activités humaines sont très probablement la principale cause du réchauffement observé depuis le milieu du XXe siècle. Ils considèrent qu'une augmentation de 2°C par rapport à la température de la période préindustrielle est le seuil au-delà duquel le risque d'assister à des changements climatiques dangereux, voire catastrophiques, est beaucoup plus élevé. Pour cette raison, la communauté internationale a reconnu la nécessité de maintenir le réchauffement de la planète en dessous de 2 °C. Des changements institutionnels et technologiques majeurs donneront une chance meilleure que le réchauffement climatique ne dépasse pas ce seuil.

    Pour lutter contre le réchauffement climatique, il faut avant tout réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Pour cela, le premier moyen est de se tourner vers les énergies renouvelables (énergie solaire, énergie éolienne, énergie inhérente à l’eau et à la vapeur d’eau, l’énergie géothermique) et d’éviter les énergies fossiles.  Mais il faut aussi réduire sa consommation énergétique, éviter le gaspillage alimentaire, mieux se nourrir en évitant les produits qui ont une trop grosse empreinte carbone, optimiser l’utilisation des ressources… Par-dessus tout, il faut planter les arbres, protéger les écosystèmes forestiers qui ont la capacité de séquestrer le dioxyde de carbone à moindre cout. Voici quelques actions à mettre en œuvre afin d’agir pour le climat: modifier les habitudes alimentaires et consommer moins de viande, lutter contre la déforestation, protéger les océans en évitant par exemple d’y déverser des produits toxiques, consommer de l’énergie propre et réduire la consommation en énergie, trier les déchets et passer à l’économie circulaire avec la règle de trois R (Réduire, Réutiliser, Recycler), privilégier le transport en commun, les véhicules électriques ou faire du covoiturage.

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    Climate change media literacy campaign fait partie intégrante du Programme de sensibilisation sur le changement climatique (#PLCC) organisé par le BEGE-RDC dans le cadre du Global SDGs Week (#Act4SDG)

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  • Le glissement de terrain en République Démocratique du Congo: comment se préparer au risque ?

    La République Démocratique du Congo, en général, et la région du Kivu, en particulier, fait face à un ensemble des problèmes d’instabilité de terrain qui causent des problèmes sérieux aux infrastructures et anéantissent les efforts de développement au niveau local. L’une des manifestations de ces instabilités est le glissement de terrain. Ce dernier est parmi les risques hydro climatiques de grande ampleur dans cette région. A titre illustratif, entre 2010 et 2015, les glissements de terrain ont causé la mort de 134 personnes et la destruction de 700 maisons et 4 écoles dans la province du Sud-Kivu. C’est ainsi qu’il est nécessaire de connaitre les causes, les conséquences et les mesures préventives des glissements de terrain dans cette région. L’objet de cette note est de vous présenter le comportement à adopter avant, pendant et après le glissement de terrain afin de mieux minimiser le risque. A travers une série des questions-réponses, nous présentons également les éléments nécessaires pour mieux comprendre le risque de glissement de terrain.

    De prime abord, il sied de signifier que le glissement des terrains correspond au déplacement d’une masse des matériaux de la croute terrestre sur une pente ou le long d’une surface de rupture. Ces glissements de terrain sont exacerbés par des facteurs naturels et anthropiques. Parmi les facteurs naturels qui sont à la base des glissements de terrain dans la région du Kivu, nous pouvons citer la nature du sol, la pente, les précipitations, la proximité des terrains par rapport aux cours d’eaux, les failles qui constituent des zones de faiblesse tectonique et constituent des plans préférentielles de glissement de terrain etc. A titre illustratif, dans la ville de Bukavu, les sols  issus de l’altération des basaltes sont riches en minéraux argileux qui possèdent la propriété de retrait-gonflement et augmentent la susceptibilité au glissement de terrain. Par ailleurs, la proximité de terrain au cours d’eaux augmente le risque d’instabilité à travers les incisions latérales des rivières et l’érosion des berges. Parmi les facteurs anthropiques de glissement de terrain, nous pouvons citer le changement d’occupation de terre qui occasionne une perte de couverture végétale au profit de l’extension des zones urbaines, l’exploitation des matériaux de construction qui modifie la morphologie de terrain,  le mauvais terrassement, le mauvais plan de drainage, etc.

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  • Faire face à la pollution de l’air en République Démocratique du Congo

    Le 5 juin, le monde entier célèbre la journée mondiale de l’environnement sous le thème « La pollution de l’air ». Selon l’OMS, plus de 90% de la population mondiale respire un air pollué. Cette pollution de l’air est le cinquième facteur de mortalité dans le monde et provoque plus de décès que la malaria, les accidents de route, la malnutrition et l’alcool. De ce fait, elle constitue alors un véritable problème de santé publique au niveau mondial en général et en RDC en particulier.

    Par sa nature, les activités du BEGE-RDC contribuent à la lutte contre les problèmes de pollution de l’air. C’est ainsi que dans le cadre de sensibilisation sur la lutte contre la pollution de l’air, nous présentons quelques causes de cette pollution et les moyens d’y faire face en République Démocratique du Congo.

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  • Vivre avec le séisme dans le Kivu (RDC)

    La région du Kivu est affectée par les séismes ou tremblement de terre. Cette carte en est une illustration. Elle représente la distribution des séismes ayant eu lieu dans cette zone sur la période  1970-2019, avec des magnitudes de 0 à 10, des profondeurs de 0 à 900 km. Ces données sont disponibles sur http://ds.iris.edu/ieb/.

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